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Campagne en roue libre... (et non faussée) :


Laissons parler les Oui, avec des arguments aussi fin, le Non devrait faire entre 62% et 67% :

Alain Lamassoure (UMP): « Mais non c'est pas compliqué, la partie I et II sont faciles à lire, comme notre Constitution… La partie III, c'est affaire de spécialistes. Je compare ça, tiens, au fonctionnement d'une voiture. Pour conduire la voiture il faut simplement le permis, après quand on soulève le capot, il y a le moteur et là, c'est l'affaire du garagiste » (France Inter, 11.2.05).

Roselyne Bachelot: « Ce qu'il convient de souligner c'est les deux premières parties de la Constitution» (France Inter, 22.3.05).

Dominique Voynet : « Les socialistes ont décidé de ne pas faire campagne avec François Bayrou, par exemple. Moi, je n'ai aucun état d'âme et je ferai campagne avec ceux qui sont capables de soutenir le “oui”. » (11.2.05 au micro de RTL)

Jean-Luc Bennahmias: « Si on me propose un meeting avec un UDF, je ne dirai pas non » (Les Échos, 7.3.05).

« Chaque conflit social, chaque accès de grogne d'une catégorie professionnelle porte en germe le refus – voire la haine – de l'Europe » (éditorial du Monde, 2.3.05).

Bernard-Henri Lévy: « On peut, bien entendu, être hostile à la construction de l'Europe. […] Ce qui n'est pas respectable, c'est la démagogie, le mensonge – ce qui n'est ni respectable ni supportable, c'est la prise en otage des peurs et des mécontentements au profit d'une idéologie et d'un choix qui ne disent pas leur nom » (Le Point, 24.3.05).

Dominique Reynié : « On est dans des sociétés qui sont complexes en effet. On ne peut pas renoncer à la démocratie parce que c'est complexe, ni à la complexité parce que ça c'est pas possible.» Conséquence logique: «L'incertitude se décongèle au profit du oui.» (I-TV, 11.3.05)

Dominique Reynié : « Les vrais libéraux ont bien lu le texte et n'en veulent pas » (I-TV, 22.3.05).

Dominique Reynié : « Le traité, moi je le considère comme parfait » (conférence à Nanterre, 15.2.05).

« L'Unice [patronat européen] est satisfaite que le traité constitutionnel n'accroisse pas les compétences de l'Union européenne dans le domaine social » (texte interne de L'Unice, cité par L'Humanité, 19.3.05)

Guillaume Duval, rédacteur en chef d'Alternatives économiques : « Que les choses soient claires: le choix de la majorité des Verts et des socialistes d'approuver le projet de traité constitutionnel européen me paraît raisonnable » (Libération, 16.3.05).

Laurent Joffrin : « Cette Constitution est un moindre mal. Et il vaut mieux voter pour un moindre mal que pour un mal» (France Inter, 12.3.05).

Julien Dray : « Les sondages actuellement ne veulent rien dire : nous sommes dans un moment d'irrationalité » (25.3.05, cité par nouvelobs.com)

Jack Lang: « Le “non” serait une négation de nous-mêmes » (Journal du Dimanche, 6.3.05)

François Hollande: « Pour la première fois, le plein-emploi, l'économie sociale de marché, le développement durable sont des objectifs pour l'Europe » (France Inter, 14.3.05).

Ernest-Antoine Seillière: « La Constitution est un progrès pour une économie plus flexible, plus productive et pour un État allégé. Elle bénéficiera aux entreprises. » (Université d'été du Medef 2004)

Jack Lang : « C'est le plus progressiste de tous les traités européens jamais conclus. […] Refuser ce traité – il faut que les Français le sachent – c'est livrer la France, notre pays, au vent destructeur du libéralisme et du capitalisme sauvages! […] Ce traité est une arme pour faire avancer l'Europe sociale et la France sociale » (RTL, 24.3.05)

Patrick Jarreau : « Le «non» […] c'est, d'abord, l'attitude protestataire par excellence, déclinée, aux extrêmes, par le Front national d'un côté et, à l'opposé, par les organisations trotskistes » (Le Monde, 5.2.05).

Jean-Pierre Raffarin : « Regardez l'extrême gauche, l'extrême droite, ils se rassemblent […] Ceux qui votent «non» sont mécontents de l'Europe » (AFP, 30.3.05).

Jean-Marc Sylvestre : la directive Bolkestein « n'est pas à priori dangereuse si elle est corrigée d'un certain nombre d'excès. […] Il ne faut pas a prioris'opposer à ce qui n'est qu'un projet, d'une part, et d'autre part, ce qui permet une circulation des compétences, une circulation des responsabilités».

Stéphane Paoli : «Elle présente aussi un certain nombre d'avantages, il est parfois important de le rappeler» (France Inter, 18.3.05).

François Hollande: « On peut dire aujourd'hui que le projet de directive est arrêté et abandonné » (cité par Politis, 31.3.05).

Wolfgang Clement, ministre allemand de l'Économie : « L'actuelle position du gouvernement est que nous devons conserver la clause du pays d'origine, et c'est ce qui se produira» (cité par Centre for a Social Europe, Londres, 23.2.05).

Jean-Claude Juncker, président de l'Union européenne: « La directive ne sera pas retirée » (Cité par Politis, 31.3.05).

« Tony Blair s'est déclaré hier persuadé que la directive Bolkestein sur la libéralisation des services, gelée lors du récent sommet de Bruxelles, sera ultérieurement adoptée par l'Union européenne : “Mais, oui, je suis convaincu que la directive sur les services sera adoptée” » (Le Figaro, 26-27.3.05).

Danuta Hübner, commissaire européenne à la politique régionale: « Ce que nous devons faire, au contraire, c'est faciliter les délocalisations au sein de l'Europe » (citée par Le Monde, 11.2.05).

Jean-Marie Colombani: « En d'autres termes, sans ces délocalisations à l'intérieur de l'Europe, les secteurs concernés risqueraient de tout perdre » («Constitution européenne : comment réfuter les arguments du non», Challenges, 17.3.05).

Bernard Guetta : En cas de victoire du « non », « l'Europe stagnerait. L'influence française y serait réduite. […] C'est une terrible erreur que la France est à la veille de commettre » (France Inter, 18.3.05).

Jacques Delors : « Une victoire du “non” provoquerait un cataclysme politique en France » (cité par Le Monde 19.3.05)

François Bayrou, en réunion publique : « Je vous le dis de toutes mes fibres [si le non l'emporte], il pleuvra plus de quarante jours !» (Le Monde, 31.3.05).

Alain Genestar : « Voter “non”, c'est stopper une dynamique au pire moment, sans doute, de l'histoire du monde ».
« L'évidence et le bon sens appellent à voter oui. […] Mais la pédagogie, est, en politique, plus difficile que la démagogie. Pour l'heure, seul le “non” fait du tapage. Le “oui” a la discrétion d'une violette cachée dans les herbes folles de tous les mécontentements et de tous les tapages. » (Paris Match, 24.3.05)

Jérôme Jaffré, directeur d'institut de sondage : « Les Français souhaitent répondre à la question posée: Est-ce que la France veut participer au premier rang à la construction européenne? […] C'est l'Europe qu'on assassine si on vote “non” » (France Culture, 5.3.05)

« Mercredi, José Manuel Barroso impulsera une orientation plus favorable aux milieux d'affaires. […] Les objectifs de l'Union relatifs à la politique sociale et environnementale deviendront moins pressants » (Financial Times, 1.02.05)

Luc Ferry: « Jacques [Julliard] et moi-même sommes partisans du “oui”. On a évidemment le droit d'être partisans du “non”. […] Le “non” cristallise tous les mécontentements. On a là une fédération des grincheux de toute sorte si je puis dire. » (LCI, 19.2.05)

Daniel-Cohn-Bendit : « Pourquoi je vote Giscard » : « Toutes les libéralisations ne doivent pas être rejetées de manière dogmatique. Pourquoi s'opposer à celle du marché de l'énergie ? » (L'Expansion novembre 2003)

Claude Imbert : le “non”, c'est « le dechaînement médiocre des intérêts corporatistes». «Ne laissons pas le subalterne et la chienlit démagogique envahir l'horizon ! » (Le Point, 31.3.05)

Dominique de Villepin : « Si l'on veut une France soumise, si l'on veut une France dominée, eh bien le ”non” fait le lit de cela » (RTL, 22.3.05)

Jack Lang : « Il faut savoir être patriote, et avoir le sens de l'intérêt supérieur du pays : vous aimez, nous aimons notre pays, la France. Nous avons pour notre pays une ambition. Or, le rejet de ce texte, ce […] serait un affaiblissement de la France » (RTL, 24.3.05).

François Hollande : « Dois-je rappeler le 21 avril ? Tout est possible, même l'invraisemblable, la crise, l'irrationnel » (cité par Le Figaro, 21.3.05)

Christophe Barbier: « Le “non” se nourrit de la colère, le “oui” de la raison » (L'Express, 21.3.05)

Jean-Marie Colombani: « On voit bien que les arguments du “non” sont des arguments simples – voilà : non à ci ! non à ça ! – et que les arguments du “oui” font plus appel à la réflexion » (France Culture, 26.3.05)

Dominique Strauss-Kahn : « Les arguments du non sont les plus faciles et les plus populistes » (RTL, 20.3.05)

Martine Aubry : le “non”, « c'est du populisme, c'est ce qui a conduit l'Italie d'autrefois à ce que l'on sait ».

Jack Lang : c'est « un délit de démocratie » (cité par Le Figaro, 1.4.05)

Michel Rocard a expliqué au Journal du dimanche que le “non” et ses partisans représentaient « une pollution, une mystification et un mensonge, le choix du néant, une piscine sans eau, de l'agitation d'analphabètes »; ceux du “oui” incarnent en revanche « la France moderne, jeune et dynamique » (cité par Marianne, 19.2.05)

Patrick Sabatier : «La CGT choisit, comme l'étrange alliance des carpes communistes et des lapins villiéristes, d'appeler à voter “non” au traité. […] Le danger est réel que la colère populaire entraîne une majorité d'électeurs vers un “non” à la Constitution de pure protestation » (Libération, 4.2.05)
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